Mon nouveau poème, cette fois-ci en français.
Je n' avais maintenant que le Ciel infini et les Étoiles comme toit,
La Terre mouillée comme Socle qui me soutenait de tout son poids,
L' Aube pourpre qui s' étirait à perte de vue sur mes jours éthérés
Et le Crépuscule doré comme toile de fond de mes nuits agitées...
Je franchissais d' un pas vif le Seuil lumineux de l' Horizon diaphane
Portée par les lueurs dansantes et les rituels des chamanes...
La Terre explosait de mil feux sous mes yeux entrouverts,
Projetée sur les miroirs cristallins des vagues de la Mer...
J' appréhendais la Beauté au-delà des vertiges sulfureux de ce Monde,
Un monde qui ne se nourrissait plus que d' illusions moribondes...
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